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Biographie
Ses expériences professionnelles se synthétisent en 23 ans de Présidences et de Directions générales dans le secteur de la R&D et de l’Industrie, principalement en France et dans un contexte international. Puis il exercera pendant 5 années le métier d’enseignant formateur en neurosciences cognitives dans l’enseignement supérieur.
Soucieux d’être plus efficace pour soi et pour l’équipe, il a testé et mis en pratique de très nombreux outils du management, depuis les concepts du Kaizen jusqu’à l’entreprise holocratique en passant par la Communication Non Violente et la méditation. En travaillant sur l’innovation managériale, il a acquis la conviction que les neurosciences offrent aujourd’hui un terrain d’explication scientifique à beaucoup de situations d’entreprises. Il est possible d’améliorer l’efficacité d’un manager ou d’une organisation en maitrisant l’essence-même de l’Homme, c’est-à-dire son cerveau.
Pourquoi acceptez-vous de participer à un sommet sur la bienveillance ?
A titre personnel et professionnel, il est important d’enseigner les bienfaits de la bienveillance, pour soi et avec les autres. Loin de l’idée naïve d’un monde plein de « bisounours », la bienveillance s’avère être un levier de l’intelligence individuelle et collective depuis la nuit des temps.
Quel acte de bienveillance aimeriez-vous partager ?
Par la diffusion de l’information scientifique la plus récente, j’apprends aux étudiants et aux collaborateurs à prendre du recul par rapport à l’environnement qui pousse à l’aliénation et à la manipulation. Trouver ce dont on a réellement besoin, là est tout l’enjeu de mon enseignement…
